Post très long, je recommande de prendre du temps pour découvrir Pablo Picasso dans sa relation aux femmes, à commencer par sa mère.
Son
nom complet est Pablo
Diego José Francisco de Paula Juan Nepomuceno María de los Remedios
Cipriano de la Santísima Trinidad Mártir Patricio Ruiz y Picasso
Il
peint ses tout - premiers tableaux à l'âge de huit ans, son préféré
étant Le
Petit Picador jaune
(1889),
sa première peinture à l'huile, dont il refusera toujours de se
séparer.
Et
déjà fervent amateur de tauromachie !!!
//Les
femmes ont joué un rôle important dans la vie de Picasso. Sept
femmes en particulier ont marqué les grandes étapes de sa
vie : Fernande
Olivier, Eva
Gouel, Olga
Khokhlova, Marie-Thérèse
Walter, Dora
Maar, Françoise
Gilot, Jacqueline
Roque ;
à chacune d'elles, on peut rattacher une période majeure de son
œuvre
//
Picasso
a eu quatre enfants avec trois d'entre elles : ( Lune en maison V conjointe Nœud Nord )
Vie
privée : ( Tout ce qui concerne son thème natal sera posé plus loin)
Du
23 janvier au 15
février 1918,
Picasso expose avec Matisse chez Paul
Guillaume.
Il se marie avec Olga à l'église russe de Paris, le 12 juillet 1918 (il a 37 ans)
Il
épouse plus tard Jacqueline à Vallauris, le 2
mars 1961,
et en juin, s'installe au mas
Notre-Dame-de-Vie de Mougins,
à Mougins,
près de Cannes
(il a 80 ans)
Picasso
meurt le 8
avril 1973 (il a 92 ans) d'une embolie pulmonaire. Il est enterré deux jours plus tard dans le parc du château
de Vauvenargues dans
les Bouches du Rhône, selon la décision de sa femme Jacqueline et
de son premier fils Paulo,
après que la mairie de Mougins a refusé l'inhumation sur sa
commune, voyant en lui un « communiste milliardaire ».
L'enterrement
a lieu dans une ambiance familiale délétère ** Marie-Thérèse
Walter,
sa fille Maya, Paloma,
ainsi que son frère Claude se
voyant interdire l'accès au château.**
Notes : ** Il est clair que les perturbations psychologiques de ces personnes sont reliées à Pablo Picasso lui-même.
Son
petit-fils, Pablito,
(petit fils d'Olga) s'est aussi suicidé ** en ingérant de l'eau de javel alors que Jacqueline Roque l’empêchait d’assister aux
funérailles de l’artiste
Selon
le vœu de Picasso, la sculpture monumentale en bronze La
Femme au vase est
scellée sur sa tombe, dans le parc du château. Jacqueline Roque
sera elle-même enterrée à ses côtés en 1986
Ses
héritiers légaux sont son fils Paulo (fils
d'Olga) et Jacqueline
Roque,
les trois autres enfants étant nés
hors mariage ;
mais ces derniers gagnent en 1974 leur procès en reconnaissance de
droit à l'héritage.
(Maya – Paloma et Claude)
Pablo Picasso et ses femmes :
Pablo
Picasso détruisait les femmes. Pas
métaphoriquement. Littéralement.
Marie-Thérèse
Walter, sa maîtresse, s’est suicidée **quatre ans après sa
mort, incapable de vivre sans lui, même dans la mort. Dora Maar,
la brillante photographe qu’il peignit sous les traits de "La
Femme qui pleure", passa des années en soins psychiatriques **après avoir été rejetée par lui. Jacqueline Roque, sa
seconde femme, se tira une balle dans la tête ** treize ans après sa
mort.
Le
schéma était toujours le même : Picasso trouvait une jeune femme
talentueuse. Il la consumait — sa jeunesse, son art, son identité.
Il la peignait de manière obsessionnelle, l’immortalisant sur ses
toiles tout en la détruisant dans la vie. Puis, une fois qu’il en
avait fini, il passait à la suivante.
Il
qualifiait les femmes de "dieux ou de paillassons." Il les
appelait aussi "des machines à souffrir."
Pendant
des décennies, aucune femme n’échappait à son emprise. Soit
elles restaient jusqu’à ce qu’il les quitte, soit elles se
brisaient en essayant.
Jusqu’à
Françoise Gilot. Celle
qui a su lui résister !
Françoise
Gilot,
née le 26
novembre 1921 à Neuilly-sur-Seine
(1h du matin -asc Vierge)
Elle
avait 21 ans. Lui, 61. Et lorsqu'elle essaya de le quitter, Pablo
Picasso la regarda et rit : "Personne ne quitte Picasso."
Mais elle partit quand même — et devint la seule femme à l’avoir
jamais fait.

Paris,
1943. La ville était sombre, occupée par les nazis, ses cafés à
moitié vides et tendus. Dans une pièce enfumée, Françoise,
étudiante en peinture au regard aussi perçant que sa volonté,
rencontra Pablo Picasso, 61 ans. (Elle a 22 ans)
Il
la regarda et lui dit : "Tu es si jeune. Je pourrais être ton
père."
Elle
soutint son regard sans faiblir. "Tu n’es pas mon père."
C'était
Françoise — de l’acier sous une grâce apparente.
Pendant
dix ans, elle vécut dans son orbite. Elle peignait. Elle l’aimait.
Elle lui donna deux enfants, Claude et Paloma. Il la peignait
des centaines de fois, la qualifiant de muse, de "femme qui
voyait trop."
Mais
Françoise voyait ce que les autres n'avaient pas vu : elle voyait le
piège.
"Je
l’aimais," dira-t-elle plus tard, "mais je voyais aussi
comment il avait besoin de détruire ce qu'il aimait le plus."
Au
début des années 1950, le masque de Picasso tomba. Lui, qui l'avait
courtisée avec charme et génie, était devenu cruel. Il exigeait
une adoration sans partage, pas une égalité dans leur relation.
Chaque conversation devenait une lutte de pouvoir. Chaque silence,
une guerre psychologique.
Il
l’opposait à ses autres compagnes. Il rabaissait son art. Il
devenait furieux quand elle montrait de l’indépendance. "Il
voulait être à la fois Dieu et enfant," se souviendra
Françoise. "Et il n'y avait de place pour personne d'autre dans
cet univers."
D'autres
femmes s'étaient brisées sous ce traitement. Dora Maar avait tenté
de se rebeller et avait fini institutionnalisée. Marie-Thérèse
avait accepté son rôle de maîtresse perpétuelle, attendant des
miettes de son attention.
Mais
Françoise était différente.
Un
matin de 1953, après une nouvelle nuit de disputes et de
manipulation, elle se regarda dans le miroir de leur villa à
Vallauris. Elle n'avait que 32 ans, mais se sentait vieille. Derrière
elle, les tableaux de Picasso recouvraient les murs comme des yeux
vigilants.
Elle
se vit enfin clairement.
Elle
se tourna vers lui et dit calmement : "Je m'en vais."
Picasso
éclata de rire. Un rire froid, incrédule — celui d'un homme qui
n’avait jamais été rejeté.
"Tu
ne peux pas me quitter. Personne ne quitte Picasso."
Mais
elle partit.
Elle
fit ses valises. Elle prit ses enfants. Et elle sortit de la villa,
hors de son ombre, hors de son contrôle.
Pas
de drame. Pas de dénouement. Juste la force tranquille d’une femme
qui reprend son âme.
Françoise
refusa de disparaître.
Elle
continua de peindre. Elle éleva seule ses enfants. Elle
reconstruisit sa carrière, galerie après galerie, tableau après
tableau.
Et
en 1964, elle fit quelque chose qui choqua le monde de l’art : elle
publia La Vie avec Picasso — un mémoire lucide et sans concession
qui brisait le mythe et racontait sa vérité.
Le
livre fut scandaleux. Les critiques le jugèrent vengeur. Les amis de
Picasso l’appelèrent trahison. Picasso lui-même tenta de le faire
interdire en France.
Françoise,
elle, parla de liberté.
"Je
devais cette vérité aux autres femmes," dit-elle. "Afin
qu'elles sachent qu'elles pouvaient survivre à lui aussi."
Le
livre devint un best-seller international. Pour la première fois, le
monde aperçut ce qui se cachait derrière le génie de Picasso :
la cruauté, la manipulation, la destruction systématique des femmes
qui l’aimaient.
Et
la liberté devint le chef-d'œuvre de Françoise.
D'abord
mariée à Luc Simon de 1955 à 1962
Des
années plus tard, elle tomba à nouveau amoureuse — de Jonas
Salk, le virologue qui développa le vaccin contre la polio et
sauva des millions de vies.
Le
contraste était frappant et parfait.
"Picasso
voulait posséder le monde," dit Françoise, "Jonas voulait
le guérir."
Elle
épousa Salk en 1970, et ils restèrent partenaires jusqu'à sa mort
en 1995. Avec lui, elle trouva ce que Picasso n’avait jamais pu lui
offrir : un amour basé sur le respect mutuel plutôt que sur la
domination.
Pendant
ce temps, son art prospéra. Ses peintures — vibrantes, fortes,
intransigeantes — commencèrent à être exposées dans de grands
musées. Le Met. MoMA. Le Centre Pompidou. Son travail témoignait de
la survie, de la résilience et de la renaissance.
Elle
était devenue exactement ce que Picasso craignait le plus : une
artiste dont la mémoire serait liée à sa propre brillance, et non
à la sienne.
Picasso
mourut en 1973 à 91 ans, entouré d’art et de richesse, mais
finalement seul, après avoir brûlé tous ceux qui l’aimaient.
Françoise
vécut jusqu'en 2023, mourant paisiblement à l'âge de 101 ans —
vivant cinquante ans de plus que lui.
Au
cours de ces cinquante années, elle peignit, enseigna, inspira. Elle
regarda ses enfants et petits-enfants prospérer. Elle prouva qu’une
femme pouvait survivre au plus grand artiste du 20e siècle et
émerger non pas comme une simple note de bas de page, mais comme une
force.
Lorsqu'on
lui demanda, à la fin de sa vie, comment elle avait trouvé le
courage de partir, elle sourit et répondit simplement :
"Parce
que la liberté est le seul amour qui mérite d’être gardé."
Picasso
peignit son visage cent fois, cherchant à la capturer, à la
contrôler, à la posséder.
Mais
Françoise peignit son propre destin.
Elle
avait 21 ans lorsqu’elle rencontra l'homme le plus puissant du
monde de l'art. Elle en avait 32 lorsqu’elle le quitta. Et elle
mourut à 101 ans — ayant passé soixante-dix ans à prouver
qu’elle n’avait jamais été sa muse.
Elle
a toujours été l'artiste.
Pablo
Picasso détruisait toutes les femmes qu'il touchait.
Sauf
une.
Françoise
Gilot ne se contenta pas de survivre à Picasso. Elle sortit de son
ombre et se dirigea vers sa propre lumière brillante — et y resta
pour le reste de sa vie extraordinaire.
Parfois,
le plus grand acte de création consiste à refuser d’être
détruit.
Sources
:
La
Vie avec Picasso, Françoise Gilot
"Picasso:
The Other Woman," The Guardian
"Picasso
and His Women," The Art Journal
Dans
ses mémoires, Grand-père, Marina
Picasso,
sa petite-fille, (sœur de Pablito) décrit ainsi son traitement des
femmes : « Il les soumettait à sa sexualité
animale, les apprivoisait, les ensorcelait, les ingérait et les
détruisait sur ses toiles. Après avoir passé de nombreuses nuits à
extraire leur essence, une fois qu’elles étaient asséchées, il
les délaissait »
Regardons
son thème natal : (photo plus bas)
Je
remarque un lien particulier avec sa mère (Soleil maison IV) : Maria Picasso Lopez
Née
d'une famille italienne issue d'une famille de vignerons, elle est
l'épouse du peintre José
Ruiz y Blasco et aussi la mère de Lola
Ruiz Picasso.
(sœur de Pablo)
Son
fils Pablo,
né d'un accouchement difficile, et auquel elle fut particulièrement
attachée, l'a prise comme modèle dans certaines de ses œuvres,
notamment dans Portrait
de la mère de l'artiste,
tableau exposé au Musée
Picasso de Barcelone.
Peint
en 1896 il n'avait que 15 ans
Conjoint
à son Soleil (447) Valentine à 2°42 Scorpion maison IV
Charmeur
oui et aussi manipulateur !
Astrologiquement
parlant selon Mark Andrew Holmes, la Saint-Valentin semble, comme on
pouvait s'y attendre, fortement influencée par la septième maison :
elle indique les relations interpersonnelles de toute nature et le
désir
de les nouer
et de les entretenir. Cela peut concerner non seulement les relations
amoureuses et les mariages, mais aussi les partenariats commerciaux,
les relations entre conseiller et personne conseillée, entre avocat
et client, les relations conflictuelles, entre bourreau
et victime,
ou toute autre relation impliquant deux personnes. La Saint-Valentin
peut également indiquer le désir de solliciter l'approbation
d'autrui ou d'envoyer quelque chose à une personne à titre
personnel ; cela peut être n'importe quoi : une carte de
Saint-Valentin, une lettre, un document juridique, un envoi de
marchandises à vendre, un courrier indésirable, un message
haineux,
un colis rempli d'excréments de chien, ou même une bombe
artisanale.
Mark
Andrew Holmes se réfère à l'opéra Les Huguenots : amour
impossible et sacrificiel
Ici Picasso pense d'abord à lui et non pas à l'autre !! En
Maison IV on peut imaginer que c'est à sa mère qu'il vouait un tel
amour !!!
Ascendant
Lion donc ce fameux Soleil son maître !
Souvent
quand le Soleil est au Carré de l’ascendant, il existe une
dichotomie dans le tempérament du natif.
Comment
ne pas voir les positions des lunes noires que ce soit la vraie, la
moyenne ou la corrigée à l'ascendant Lion. Abord pas très
sympathique ? Ou auto-castration ? Par quelle facette de sa
personnalité ?
Ses
œuvres m'ont toujours perturbée comme si des morceaux de moi
étaient explosés or trouver (1923) Osiris à l'ascendant me semble
normal, corps démembré !
Osiris,
le puissant « Celui
qui bénéficie de l'activité rituelle »
Voici le thème natal de Pablo Picasso monté avec Astrodienst - détail en fin de post
Notons
en plus Lune conjoint à Nœud Nord en Sagittaire, il est bien
question de destin lié à la mère et aux femmes.
Volasfera pour
ce 9° Sagittaire: « Une
maison en feu. »
Ce
degré est révélateur d’une nature enthousiaste et inspirée,
très impulsive et têtue, mais ayant un but précis dans la vie,
auquel tout le reste est subordonné. Le natif peut être un
visionnaire, ou un homme consumé par le feu d’un génie subtil,
mais sa nature peu pratique lui vaudra de sévères sanctions.
Nous
trouvons l'astéroïde (4221) Picasso à 20° 49 Vierge proche
d'Uranus en maison II
Qu'il
ait eu un don est évident et qu'il ait su engranger grâce à sa
peinture l'est aussi.
Calendrier
Thébaïque 21
Vierge :
« Un
homme debout, tenant de l’or dans une de ses mains ouvertes, et de
l’argent dans l’autre. »
Acquisition
de biens. »
Le
duo (un peu large peut-être 3°47 orbe) Uranus /Picasso est vraiment
l'expression de ses œuvres si l'on choisit le mot iconoclaste pour
Uranus !
Voici le détail des positions toujours issues d'Astrodienst
J'ai donc ajouté tous les astéroïdes qui correspondent aux femmes citées dans sa bibliographie.
D'abord le thème de Françoise Gilot monté avec ZET Lite
Françoise
Gilot est née le 26 Novembre 1921 à 1 h à
Neuilly-sur-Seine 92
Sagittaire
ascendant Vierge – Lune aussi conjointe au Nœud Nord en Balance
(comme chez Pablo Picasso)
Chez
elle une grand croix cardinale sur Chiron/Bélier – Pluton/Cancer –
Mars Jupiter/Balance et (1923) Osiris/Capricorne
Osiris
lui-même conjoint à (1865) Cerberus – or Osiris est un marquage
de Picasso comme conjonction ascendant Lion
Et
Mars est toujours la planète qui gère ce genre de grande croix
cardinale !
Forte
personnalité dans le couple (Balance + Jupiter) à l'ascendant
A
son ascendant on trouve :
(1309)
Hyperborea (littéralement « terre du Grand Nord » en grec) selon
Mark Andrew Holmes,tire son nom d'une région de la mythologie
grecque située très au nord de la Grèce, un lieu de soleil
perpétuel à l'abri du vent du nord Borée et hors de portée de son
froid, dont les habitants vénéraient Apollon, le dieu du soleil, de
la lumière et de la musique, et vivaient dans une sorte de paradis
terrestre.
Quel
était son Apollon ? Physiquement Picasso n'a rien d'un Apollon
mais elle l'a forcement admiré (voir reportage)
On
trouve aussi :
(33154)
Talent c'est évident
(895)
Helio elle a brillé même sans Picasso
Conjoint
à son Soleil à 3°14 Sagittaire on trouve (5) Astraea que Richard
Doyle nomme la « Fille -Étoile » - elle regroupe les
forces et qualités des 4 premiers astéroïdes qui sont tous
« féminins » Cérès/Demeter – Pallas/Athena –
Junon/Hera et Vesta/Hestia
Et
(59) Elpis, l'espoir qu'elle a su trouver après avoir rejeter tous
les sorts contenus dans Pandora en Fond de ciel
Son
Soleil est conjoint à (3) Junon chez Picasso
Astraea
et Talent sont angulaires en Maison VII et en Verseau – c'est bien
cette « femme » qui lui convenait si son orgueil s'était
calmé !
L'astéroïde
(4221) Picasso se situe chez Françoise Gilot à 22 ° Verseau
Volasfera : « Un
taureau enragé piétinant le corps d’un chien. »
Ce
degré désigne celui dont les passions sont excessives et dont la
colère peut l’entraîner à commettre des actes de violence. La
nature est forte et énergique, capable de se frayer un chemin dans
le monde, mais pas assez forte pour être capable de contrôler ses
propres sentiments. Dans des moments passionnels, le natif est
capable d’actes de brutalité et de férocité, et bien qu’il
puisse remporter la victoire sur tous ses ennemis, il en restera
toujours un d’insoumis. Il est essentiel que sa nature heureuse et
sa carrière ne soient pas ruinées par des actions impulsives et
indiscrètes.
Degré
de violence.
Violence qui
même si elle n'était pas physique (nous n'y étions pas) existait
réellement !
Mais plus étonnant cet astéroïde (4221) Picasso de Pablo est en conjonction exacte avec le point EST du thème natal de Françoise GILOT (20°57) !!!!! motivation inconsciente de leur incarnation !!!
A
lire :
https://www.centrepompidou.fr/fr/pompidou-plus/magazine/article/francoise-gilot-une-femme-puissante-face-a-picasso
Détail des positions sur thème natal de Françoise Gilot
L'astéroïde (4221) Picasso
(4221)
Nommé
en hommage à Pablo Picasso (1881-1973), l'artiste le plus prolifique
de tous les temps. Sa carrière a traversé toute l'histoire de l'art
moderne. La créativité de Picasso en peinture, dessin, sculpture,
gravure et céramique est empreinte d'une inventivité débordante,
d'impulsions incontrôlées, d'une ambition sans limites et d'une
soif insatiable de découverte. Nom approuvé par Eleanor F. Helin.
[Réf. : Minor Planet Circ. 16044]
Découverte
officielle MPC le 13 Mars 1988 à Palomar Mountain (Californie) à 7h
56'29''
Une première datation archivée donne 02 Avril 1954 en Indiana
Les
deux thèmes posés ci-dessous nécessitent confirmation d'heure, si
(4221) Picasso est en Balance dans les deux, sa position n'est pas
très haute dite près du Milieu du Ciel, ce qui est la normalité.
Pour
des raisons techniques, je n'ai pu insérer l'astéroïde (4221) dans ZET Lite - je donne sa position en commentaires.
Thème
de 1ère découverte de l'astéroïde (4221) Picasso
1ère
observation : 02 avril 1954 – (4221) est alors à 2°29r
Balance conjoint à Cérès
Thème
MPC date officielle : 13 Mars 1988 – (4221) Picasso est alors
à 17°26r Balance conjoint à (114) Kassandra (1)
(1) L'étymologie du nom Kassandre est « inexpliquée », ailleurs on lit « briller » ou « surpasser, exceller »
Kassandre est le symbole de la lucidité qui se heurte à la non croyance et à l'ignorance.
Dans la langue française, Cassandre devient un nom commun désignant une personne pessimiste annonçant des malheurs. L'expression « jouer les cassandre » est ainsi utilisée pour désigner quelqu'un qui fait des prophéties dramatiques et dont les propos peuvent paraître exagérés.///
L'ascendant Sagittaire se positionne sur le Nœud Nord/Lune de Pablo Picasso
Vous noterez que j'ai positionné (1865) Cerberus sur les thèmes ZET....
Il y a quelque part une facette qui m'interpelle dans le tempérament de Pablo Picasso car tellement de suicides autour de lui impliquent une forme de persécution que je lierais avec Cerbere.... ( voir mon post précédent)
https://lumieredesastres.blogspot.com/2025/11/cerberius-terrible-gardien-des-enfers.html
L'ajout de (11911) Angel est là en "protection" ! On le trouve conjoint à la Lune chez Françoise Gilot
Pardon pour la longueur de cette étude qui ne pouvait être réduite, si besoin de précisions ou de détails des thèmes je suis dispo !
Terminé le 2 Décembre 2025
Maïtha LOBJOIS