mardi 2 décembre 2025

Pablo PICASSO son thème natal - sa personnalité - (4221) Picasso et Françoise GILOT

En terminant l'étude de la vie de Pablo Picasso et son thème astral, voici comme est ma tête ! Ses œuvres m'ont toujours perturbée comme si des morceaux de moi étaient dispersés !


Post très long, je recommande de prendre du temps pour découvrir Pablo Picasso dans sa relation aux femmes, à commencer par sa mère.

Son nom complet est Pablo Diego José Francisco de Paula Juan Nepomuceno María de los Remedios Cipriano de la Santísima Trinidad Mártir Patricio Ruiz y Picasso

Il peint ses tout - premiers tableaux à l'âge de huit ans, son préféré étant Le Petit Picador jaune (1889), sa première peinture à l'huile, dont il refusera toujours de se séparer.


Et déjà fervent amateur de tauromachie !!!

//Les femmes ont joué un rôle important dans la vie de Picasso. Sept femmes en particulier ont marqué les grandes étapes de sa vie Fernande OlivierEva GouelOlga KhokhlovaMarie-Thérèse WalterDora MaarFrançoise GilotJacqueline Roque ; à chacune d'elles, on peut rattacher une période majeure de son œuvre //

Picasso a eu quatre enfants avec trois d'entre elles : ( Lune en maison V conjointe Nœud Nord )


Vie privée : ( Tout ce qui concerne son thème natal sera posé plus loin)

Du 23 janvier au 15 février 1918, Picasso expose avec Matisse chez Paul Guillaume. Il se marie avec Olga à l'église russe de Paris, le 12 juillet 1918 (il a 37 ans)

Il épouse plus tard Jacqueline à Vallauris, le 2 mars 1961, et en juin, s'installe au mas Notre-Dame-de-Vie de Mougins, à Mougins, près de Cannes (il a 80 ans)

Picasso meurt le 8 avril 1973 (il a 92 ans) d'une embolie pulmonaire. Il est enterré deux jours plus tard dans le parc du château de Vauvenargues dans les Bouches du Rhône, selon la décision de sa femme Jacqueline et de son premier fils Paulo, après que la mairie de Mougins a refusé l'inhumation sur sa commune, voyant en lui un « communiste milliardaire ».

L'enterrement a lieu dans une ambiance familiale délétère ** Marie-Thérèse Walter, sa fille MayaPaloma, ainsi que son frère Claude se voyant interdire l'accès au château.**

Notes : ** Il est clair que les perturbations psychologiques de ces personnes sont reliées à Pablo Picasso lui-même.

Son petit-fils, Pablito, (petit fils d'Olga) s'est aussi suicidé ** en ingérant de l'eau de javel alors que Jacqueline Roque l’empêchait d’assister aux funérailles de l’artiste

Selon le vœu de Picasso, la sculpture monumentale en bronze La Femme au vase est scellée sur sa tombe, dans le parc du château. Jacqueline Roque sera elle-même enterrée à ses côtés en 1986

Ses héritiers légaux sont son fils Paulo (fils d'Olga) et Jacqueline Roque, les trois autres enfants étant nés hors mariage ; mais ces derniers gagnent en 1974 leur procès en reconnaissance de droit à l'héritage. (Maya – Paloma et Claude)

Pablo Picasso et ses femmes : 

Pablo Picasso détruisait les femmes. Pas métaphoriquement. Littéralement.

Marie-Thérèse Walter, sa maîtresse, s’est suicidée **quatre ans après sa mort, incapable de vivre sans lui, même dans la mort. Dora Maar, la brillante photographe qu’il peignit sous les traits de "La Femme qui pleure", passa des années en soins psychiatriques **après avoir été rejetée par lui. Jacqueline Roque, sa seconde femme, se tira une balle dans la tête ** treize ans après sa mort.

Le schéma était toujours le même : Picasso trouvait une jeune femme talentueuse. Il la consumait — sa jeunesse, son art, son identité. Il la peignait de manière obsessionnelle, l’immortalisant sur ses toiles tout en la détruisant dans la vie. Puis, une fois qu’il en avait fini, il passait à la suivante.

Il qualifiait les femmes de "dieux ou de paillassons." Il les appelait aussi "des machines à souffrir."

Pendant des décennies, aucune femme n’échappait à son emprise. Soit elles restaient jusqu’à ce qu’il les quitte, soit elles se brisaient en essayant.

Jusqu’à Françoise Gilot.    Celle qui a su lui résister ! 

Françoise Gilot, née le 26 novembre 1921 à Neuilly-sur-Seine (1h du matin -asc Vierge)

Elle avait 21 ans. Lui, 61. Et lorsqu'elle essaya de le quitter, Pablo Picasso la regarda et rit : "Personne ne quitte Picasso." Mais elle partit quand même — et devint la seule femme à l’avoir jamais fait.



Paris, 1943. La ville était sombre, occupée par les nazis, ses cafés à moitié vides et tendus. Dans une pièce enfumée, Françoise, étudiante en peinture au regard aussi perçant que sa volonté, rencontra Pablo Picasso, 61 ans. (Elle a 22 ans)

Il la regarda et lui dit : "Tu es si jeune. Je pourrais être ton père."

Elle soutint son regard sans faiblir. "Tu n’es pas mon père."

C'était Françoise — de l’acier sous une grâce apparente.

Pendant dix ans, elle vécut dans son orbite. Elle peignait. Elle l’aimait. Elle lui donna deux enfants, Claude et Paloma. Il la peignait des centaines de fois, la qualifiant de muse, de "femme qui voyait trop."

Mais Françoise voyait ce que les autres n'avaient pas vu : elle voyait le piège.

"Je l’aimais," dira-t-elle plus tard, "mais je voyais aussi comment il avait besoin de détruire ce qu'il aimait le plus."

Au début des années 1950, le masque de Picasso tomba. Lui, qui l'avait courtisée avec charme et génie, était devenu cruel. Il exigeait une adoration sans partage, pas une égalité dans leur relation. Chaque conversation devenait une lutte de pouvoir. Chaque silence, une guerre psychologique.

Il l’opposait à ses autres compagnes. Il rabaissait son art. Il devenait furieux quand elle montrait de l’indépendance. "Il voulait être à la fois Dieu et enfant," se souviendra Françoise. "Et il n'y avait de place pour personne d'autre dans cet univers."

D'autres femmes s'étaient brisées sous ce traitement. Dora Maar avait tenté de se rebeller et avait fini institutionnalisée. Marie-Thérèse avait accepté son rôle de maîtresse perpétuelle, attendant des miettes de son attention.

Mais Françoise était différente.

Un matin de 1953, après une nouvelle nuit de disputes et de manipulation, elle se regarda dans le miroir de leur villa à Vallauris. Elle n'avait que 32 ans, mais se sentait vieille. Derrière elle, les tableaux de Picasso recouvraient les murs comme des yeux vigilants.

Elle se vit enfin clairement.

Elle se tourna vers lui et dit calmement : "Je m'en vais."

Picasso éclata de rire. Un rire froid, incrédule — celui d'un homme qui n’avait jamais été rejeté.

"Tu ne peux pas me quitter. Personne ne quitte Picasso."

Mais elle partit.

Elle fit ses valises. Elle prit ses enfants. Et elle sortit de la villa, hors de son ombre, hors de son contrôle.

Pas de drame. Pas de dénouement. Juste la force tranquille d’une femme qui reprend son âme.


Françoise refusa de disparaître.

Elle continua de peindre. Elle éleva seule ses enfants. Elle reconstruisit sa carrière, galerie après galerie, tableau après tableau.

Et en 1964, elle fit quelque chose qui choqua le monde de l’art : elle publia La Vie avec Picasso — un mémoire lucide et sans concession qui brisait le mythe et racontait sa vérité.

Le livre fut scandaleux. Les critiques le jugèrent vengeur. Les amis de Picasso l’appelèrent trahison. Picasso lui-même tenta de le faire interdire en France.

Françoise, elle, parla de liberté.

"Je devais cette vérité aux autres femmes," dit-elle. "Afin qu'elles sachent qu'elles pouvaient survivre à lui aussi."

Le livre devint un best-seller international. Pour la première fois, le monde aperçut ce qui se cachait derrière le génie de Picasso : la cruauté, la manipulation, la destruction systématique des femmes qui l’aimaient.

Et la liberté devint le chef-d'œuvre de Françoise.


D'abord mariée à Luc Simon de 1955 à 1962

Des années plus tard, elle tomba à nouveau amoureuse — de Jonas Salk, le virologue qui développa le vaccin contre la polio et sauva des millions de vies.

Le contraste était frappant et parfait.

"Picasso voulait posséder le monde," dit Françoise, "Jonas voulait le guérir."

Elle épousa Salk en 1970, et ils restèrent partenaires jusqu'à sa mort en 1995. Avec lui, elle trouva ce que Picasso n’avait jamais pu lui offrir : un amour basé sur le respect mutuel plutôt que sur la domination.

Pendant ce temps, son art prospéra. Ses peintures — vibrantes, fortes, intransigeantes — commencèrent à être exposées dans de grands musées. Le Met. MoMA. Le Centre Pompidou. Son travail témoignait de la survie, de la résilience et de la renaissance.

Elle était devenue exactement ce que Picasso craignait le plus : une artiste dont la mémoire serait liée à sa propre brillance, et non à la sienne.


Picasso mourut en 1973 à 91 ans, entouré d’art et de richesse, mais finalement seul, après avoir brûlé tous ceux qui l’aimaient.

Françoise vécut jusqu'en 2023, mourant paisiblement à l'âge de 101 ans — vivant cinquante ans de plus que lui.

Au cours de ces cinquante années, elle peignit, enseigna, inspira. Elle regarda ses enfants et petits-enfants prospérer. Elle prouva qu’une femme pouvait survivre au plus grand artiste du 20e siècle et émerger non pas comme une simple note de bas de page, mais comme une force.

Lorsqu'on lui demanda, à la fin de sa vie, comment elle avait trouvé le courage de partir, elle sourit et répondit simplement :

"Parce que la liberté est le seul amour qui mérite d’être gardé."

Picasso peignit son visage cent fois, cherchant à la capturer, à la contrôler, à la posséder.

Mais Françoise peignit son propre destin.

Elle avait 21 ans lorsqu’elle rencontra l'homme le plus puissant du monde de l'art. Elle en avait 32 lorsqu’elle le quitta. Et elle mourut à 101 ans — ayant passé soixante-dix ans à prouver qu’elle n’avait jamais été sa muse.

Elle a toujours été l'artiste.

Pablo Picasso détruisait toutes les femmes qu'il touchait.

Sauf une.

Françoise Gilot ne se contenta pas de survivre à Picasso. Elle sortit de son ombre et se dirigea vers sa propre lumière brillante — et y resta pour le reste de sa vie extraordinaire.

Parfois, le plus grand acte de création consiste à refuser d’être détruit.

Sources :

La Vie avec Picasso, Françoise Gilot

"Picasso: The Other Woman," The Guardian

"Picasso and His Women," The Art Journal

Dans ses mémoires, Grand-pèreMarina Picasso, sa petite-fille, (sœur de Pablito) décrit ainsi son traitement des femmes : « Il les soumettait à sa sexualité animale, les apprivoisait, les ensorcelait, les ingérait et les détruisait sur ses toiles. Après avoir passé de nombreuses nuits à extraire leur essence, une fois qu’elles étaient asséchées, il les délaissait »


Regardons son thème natal : (photo plus bas)

Je remarque un lien particulier avec sa mère (Soleil maison IV) : Maria Picasso Lopez

Née d'une famille italienne issue d'une famille de vignerons, elle est l'épouse du peintre José Ruiz y Blasco et aussi la mère de Lola Ruiz Picasso. (sœur de Pablo)

Son fils Pablo, né d'un accouchement difficile, et auquel elle fut particulièrement attachée, l'a prise comme modèle dans certaines de ses œuvres, notamment dans Portrait de la mère de l'artiste, tableau exposé au Musée Picasso de Barcelone.

Peint en 1896 il n'avait que 15 ans 


Conjoint à son Soleil (447) Valentine à 2°42 Scorpion maison IV

Charmeur oui et aussi manipulateur !

Astrologiquement parlant selon Mark Andrew Holmes, la Saint-Valentin semble, comme on pouvait s'y attendre, fortement influencée par la septième maison : elle indique les relations interpersonnelles de toute nature et le désir de les nouer et de les entretenir. Cela peut concerner non seulement les relations amoureuses et les mariages, mais aussi les partenariats commerciaux, les relations entre conseiller et personne conseillée, entre avocat et client, les relations conflictuelles, entre bourreau et victime, ou toute autre relation impliquant deux personnes. La Saint-Valentin peut également indiquer le désir de solliciter l'approbation d'autrui ou d'envoyer quelque chose à une personne à titre personnel ; cela peut être n'importe quoi : une carte de Saint-Valentin, une lettre, un document juridique, un envoi de marchandises à vendre, un courrier indésirable, un message haineux, un colis rempli d'excréments de chien, ou même une bombe artisanale.

Mark Andrew Holmes se réfère à l'opéra Les Huguenots : amour impossible et sacrificiel

Ici Picasso pense d'abord à lui et non pas à l'autre !! En Maison IV on peut imaginer que c'est à sa mère qu'il vouait un tel amour !!!


Ascendant Lion donc ce fameux Soleil son maître !

Souvent quand le Soleil est au Carré de l’ascendant, il existe une dichotomie dans le tempérament du natif.

Comment ne pas voir les positions des lunes noires que ce soit la vraie, la moyenne ou la corrigée à l'ascendant Lion. Abord pas très sympathique ? Ou auto-castration ? Par quelle facette de sa personnalité ?



Ses œuvres m'ont toujours perturbée comme si des morceaux de moi étaient explosés or trouver (1923) Osiris à l'ascendant me semble normal, corps démembré !

Osiris, le puissant « Celui qui bénéficie de l'activité rituelle »

Voici le thème natal de Pablo Picasso monté avec Astrodienst - détail en fin de post



Notons en plus Lune conjoint à Nœud Nord en Sagittaire, il est bien question de destin lié à la mère et aux femmes.

Volasfera pour ce 9° Sagittaire:  « Une maison en feu. »


Ce degré est révélateur d’une nature enthousiaste et inspirée, très impulsive et têtue, mais ayant un but précis dans la vie, auquel tout le reste est subordonné. Le natif peut être un visionnaire, ou un homme consumé par le feu d’un génie subtil, mais sa nature peu pratique lui vaudra de sévères sanctions. 

Nous trouvons l'astéroïde (4221) Picasso à 20° 49 Vierge proche d'Uranus en maison II

Qu'il ait eu un don est évident et qu'il ait su engranger grâce à sa peinture l'est aussi.

Calendrier Thébaïque 21 Vierge :
« Un homme debout, tenant de l’or dans une de ses mains ouvertes, et de l’argent dans l’autre. » Acquisition de biens. »


Le duo (un peu large peut-être 3°47 orbe) Uranus /Picasso est vraiment l'expression de ses œuvres si l'on choisit le mot iconoclaste pour Uranus !

Voici le détail des positions toujours issues d'Astrodienst



J'ai donc ajouté tous les astéroïdes qui correspondent aux femmes citées dans sa bibliographie. 


D'abord le thème de Françoise Gilot monté avec ZET Lite



Françoise Gilot est née le 26 Novembre 1921 à 1 h  à Neuilly-sur-Seine 92

Sagittaire ascendant Vierge – Lune aussi conjointe au Nœud Nord en Balance (comme chez Pablo Picasso)

Chez elle une grand croix cardinale sur Chiron/Bélier – Pluton/Cancer – Mars Jupiter/Balance et (1923) Osiris/Capricorne

Osiris lui-même conjoint à (1865) Cerberus – or Osiris est un marquage de Picasso comme conjonction ascendant Lion

Et Mars est toujours la planète qui gère ce genre de grande croix cardinale !

Forte personnalité dans le couple (Balance + Jupiter) à l'ascendant

A son ascendant on trouve :

(1309) Hyperborea (littéralement « terre du Grand Nord » en grec) selon Mark Andrew Holmes,tire son nom d'une région de la mythologie grecque située très au nord de la Grèce, un lieu de soleil perpétuel à l'abri du vent du nord Borée et hors de portée de son froid, dont les habitants vénéraient Apollon, le dieu du soleil, de la lumière et de la musique, et vivaient dans une sorte de paradis terrestre.

Quel était son Apollon ? Physiquement Picasso n'a rien d'un Apollon mais elle l'a forcement admiré (voir reportage)

On trouve aussi :

(33154) Talent c'est évident

(895) Helio elle a brillé même sans Picasso

Conjoint à son Soleil à 3°14 Sagittaire on trouve (5) Astraea que Richard Doyle nomme la « Fille -Étoile » - elle regroupe les forces et qualités des 4 premiers astéroïdes qui sont tous « féminins » Cérès/Demeter – Pallas/Athena – Junon/Hera et Vesta/Hestia

Et (59) Elpis, l'espoir qu'elle a su trouver après avoir rejeter tous les sorts contenus dans Pandora en Fond de ciel

Son Soleil est conjoint à (3) Junon chez Picasso

Astraea et Talent sont angulaires en Maison VII et en Verseau – c'est bien cette « femme » qui lui convenait si son orgueil s'était calmé !


L'astéroïde (4221) Picasso se situe chez Françoise Gilot à 22 ° Verseau

Volasfera : « Un taureau enragé piétinant le corps d’un chien. »

Ce degré désigne celui dont les passions sont excessives et dont la colère peut l’entraîner à commettre des actes de violence. La nature est forte et énergique, capable de se frayer un chemin dans le monde, mais pas assez forte pour être capable de contrôler ses propres sentiments. Dans des moments passionnels, le natif est capable d’actes de brutalité et de férocité, et bien qu’il puisse remporter la victoire sur tous ses ennemis, il en restera toujours un d’insoumis. Il est essentiel que sa nature heureuse et sa carrière ne soient pas ruinées par des actions impulsives et indiscrètes.
Degré de violence.

Violence qui même si elle n'était pas physique (nous n'y étions pas) existait réellement !

Mais plus étonnant cet astéroïde (4221) Picasso de Pablo est en conjonction exacte avec le point EST du thème natal de Françoise GILOT (20°57) !!!!! motivation inconsciente de leur incarnation !!!

A lire : https://www.centrepompidou.fr/fr/pompidou-plus/magazine/article/francoise-gilot-une-femme-puissante-face-a-picasso

Détail des positions sur thème natal de Françoise Gilot



L'astéroïde (4221) Picasso 

(4221) Nommé en hommage à Pablo Picasso (1881-1973), l'artiste le plus prolifique de tous les temps. Sa carrière a traversé toute l'histoire de l'art moderne. La créativité de Picasso en peinture, dessin, sculpture, gravure et céramique est empreinte d'une inventivité débordante, d'impulsions incontrôlées, d'une ambition sans limites et d'une soif insatiable de découverte. Nom approuvé par Eleanor F. Helin. [Réf. : Minor Planet Circ. 16044]

Découverte officielle MPC le 13 Mars 1988 à Palomar Mountain (Californie) à 7h 56'29''

Une première datation archivée donne 02 Avril 1954 en Indiana

Les deux thèmes posés ci-dessous nécessitent confirmation d'heure, si (4221) Picasso est en Balance dans les deux, sa position n'est pas très haute dite près du Milieu du Ciel, ce qui est la normalité.

Pour des raisons techniques, je n'ai pu insérer l'astéroïde (4221) dans ZET Lite - je donne sa position en commentaires.


Thème de 1ère découverte de l'astéroïde (4221) Picasso

1ère observation : 02 avril 1954 – (4221) est alors à 2°29r Balance conjoint à Cérès


Thème MPC date officielle : 13 Mars 1988 – (4221) Picasso est alors à 17°26r Balance conjoint à (114) Kassandra (1) 

(1) L'étymologie du nom Kassandre est « inexpliquée », ailleurs on lit  « briller » ou « surpasser, exceller »

Kassandre est le symbole de la lucidité qui se heurte à la non croyance et à l'ignorance.

Dans la langue française, Cassandre devient un nom commun désignant une personne pessimiste annonçant des malheurs. L'expression « jouer les cassandre » est ainsi utilisée pour désigner quelqu'un qui fait des prophéties dramatiques et dont les propos peuvent paraître exagérés.///

L'ascendant Sagittaire se positionne sur le Nœud Nord/Lune de Pablo Picasso

Vous noterez que j'ai positionné (1865) Cerberus sur les thèmes ZET....

Il y a quelque part une facette qui m'interpelle dans le tempérament de Pablo Picasso car tellement de suicides autour de lui impliquent une forme de persécution que je lierais avec Cerbere.... ( voir mon post précédent) 

https://lumieredesastres.blogspot.com/2025/11/cerberius-terrible-gardien-des-enfers.html


L'ajout de (11911) Angel est là en "protection" ! On le trouve conjoint à la Lune chez Françoise Gilot

Pardon pour la longueur de cette étude qui ne pouvait être réduite, si besoin de précisions ou de détails des thèmes je suis dispo !

Terminé le 2 Décembre 2025

Maïtha LOBJOIS


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